29 novembre 2009
Complainte du coeur.
Je voudrais plume prendre,
Sans pour autant me pendre,
Sauf à ton cou bien sur,
Si c’est là mon futur,
T’écrire sans plus attendre,
Tout un tas de mots tendres,
Te donner chaque jour,
Preuves de mon amour.
Où es-tu Apollon ?
Toi, dont le cœur est bon,
Toi, dont le don d’aimer,
Saura m’apprivoiser.
Existes-tu vraiment ?
Ou bien suis-je un dément,
D’espérer par hasard,
Trouver ma perle rare.
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